En introduction à une série de chroniques sur l’institution portuaire francilienne, l’équipage d’Alternat, centre socio-culturel embarqué, revient sur la progressive affirmation foncière d’un « pouvoir sédentaire marchand ». Ou comment le Port autonome de Paris tord tranquillement la notion de domaine public et élimine le non-lucratif des abords de la Seine.
Cet article a été publié dans le numéro 11 de la version papier d’Article11
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La première rencontre eut lieu un après-midi de janvier sur les quais (...)