Pour compléter ce que j’ai écrit et qui à la relecture me paraît insuffisant, je ne crois pas du tout qu’on puisse se satisfaire d’un monde inchangé à l’exception d’un accès plus facile aux PMA. Je ne pense pas non plus que l’affaiblissement de la critique féministe au stade de mise en place conjointe d’outils de contrôle social et d’outils techniques soit particulièrement émancipateur.
Le plus malséant à mon sens dans cette histoire reste que c’est bien sous la forme de cet antagonisme que le débat a été posé par PMO et Escudero, avec de surcroît des formes de falsifications du féminisme matérialiste (...)