vendredi 1er juillet 2011 à 23h21, par Guilllaume Sabin
Toujours vient l’heure des fous. Au début des années 2000, blocages de route, manifestations au son des casseroles, récupérations d’usines ou mises en place de services communautaires - expériences exaltantes et initiatives salutaires - firent trembler le capitalisme argentin, loin des partis et de tout dogmatisme. Puis l’heure des fous est passée ; joyeuse fièvre retombée. Pour de bon ? Non : il en reste toujours quelque chose.
Cet article a été publié dans le numéro 3 de la version papier d’A11
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