« […] Chaque visage, chaque dialogue, chaque rue étroite, chaque coin sombre, chaque bistrot lumineux mériterait un volume entier et bourré comme une cantine, de renseignements, tuyaux, détails, anecdotes, commentaires... », écrivait l’affamé Jean-Paul Clébert dans Paris Insolite. Avec sa disparition (hier), c’est un pan entier de Paris qui s’écroule, glisse dans la Seine.
Juste après avoir parcouru d’une traite son livre le plus connu, après l’avoir encaissé comme un coup de poing dans les neurones, je (...)