lundi 14 novembre 2011 à 19h26, par Julia Zortea, Lémi
Dans le milieu du street-art, il fait office de père fondateur : Ernest Pignon-Ernest serait le premier à avoir transféré l’art de l’atelier à la rue. Mais il n’en a cure, laisse à d’autres le soin de discuter les prémices du genre. Loin des chapelles, loin d’un art contemporain vide et stérile, il multiplie les projets enthousiasmants, au cœur des villes, de Naples à Soweto, de Paris à Ramallah. Entretien.
Cet entretien a été publié dans le numéro 5 de la version papier d’Article11
***
« Le moment que (...)