Certains trouveront qu’un tel papier n’a pas sa place ici - améliorer le quotidien de quelques prisonniers, n’est-ce pas d’abord contribuer à légitimer toute la broyeuse carcérale ? D’autres liront avec intérêt cet entretien avec Julien Fiorentino, qui fut coordinateur des ateliers de pratique artistique de la prison de Fresnes et qui en a tiré un percutant documentaire, Avenue de la Liberté. À vous de voir.
« La prison d’habitude, c’est barreaux, maton, mitard, violence, promenade, gamelle. Ici, elle (...)