Ils ne voulaient pas d’argent. Ni transiger avec les autorités. Ni écouter de la musique insipide produite au kilomètre. Ils voulaient l’improvisation et la folie, l’enthousiasme et le plein air. Leurs fêtes étaient libres, rebelles et illégales, sans règles imposées. Retour sur l’explosion d’une contre-culture, avec Guillaume Kosmicki, auteur de « Free Party. Une histoire, des histoires ».
Cet entretien a été publié dans le huitième numéro de la version papier d’Article11, en février 2012.
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Dans les (...)