« la théorie psychanalytique ne constitue plus (hélas, selon moi !) le paradigme de prédilection dans les études des futurs psychiatres ou psychologues. »
Je n’avais pas répondu à cela, mais je crois que vos amis psychanalystes vous induisent en erreur (sûrement dans l’optique de passer pour des persécutés qu’il faudrait soutenir, ou alors peut-être finissent-ils par y croire réellement ?), le fait est que la psychanalyse (sous différentes formes, mais les concepts gravitent toujours autour de la même chose) est encore très dominante dans les études universitaires, de même que dans une myriade de métiers (...)