mercredi 23 janvier 2013 à 18h51, par Julia Zortea
Qui régit le champ de la mort ? Qui organise les relations entre les vivants et ceux qui ne le sont plus ? Rien d’anodin dans cette question. La disparition progressive du monopole de l’Église sur le devenir des cadavres (à partir de la Révolution française) s’est en effet accompagnée d’une affirmation croissante du pouvoir étatique sur le territoire mortuaire. Rencontre avec l’auteur de « Les os, les cendres et l’État ».
Cet entretien a été publié dans le numéro 10 de la version papier d’Article11
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