Ils vivent en bordure de l’axe routier le plus fréquenté de France, tentes dressées ou cabanes construites à quelques mètres de la chaussée. Adroitement dissimulés dans la végétation, leurs abris restent pratiquement invisibles aux yeux de ceux qui empruntent le boulevard périphérique parisien. Un monde à part, entre misère et débrouille.
Cet article a été publié dans le numéro 10 de la version papier d’Article11
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En bord de route, comme des indices discrets. Ici, un bout de bâche, dépassant d’un fourré. (...)