Dans son dernier livre, « Dieu en soit garde », Aïssa Lacheb évoque son adolescence dans un quartier pauvre du Reims des années 1970-1980. Une période joyeuse et frondeuse, enrichie d’amitiés fortes. Ensuite condamné pour braquage, Aïssa Lacheb passera une dizaine d’années en prison. Rencontre.
Cette chronique a été publiée dans le numéro 15 d’Article11
*
« Reims, crie Bakir, aurait pu être l’Amérique et même mieux avec tout le fric du champagne ! » (Aïssa Lacheb, Dieu en soit garde)
Il fait nuit sur (...)