Éducateur de rue dans un quartier populaire de la banlieue parisienne, il met sur papier le quotidien de ses journées, les scènes de vie tristes et/ou joyeuses. Mômes en rupture, paumés ou joyeusement révoltés, parents dépassés ou absents, administrations et associations où - de l’intérieur - quelques un-e-s essaient de résister… Voici la 4e chronique « sévice social » de l’ami Ubi.
J’aimerais bien que « tout homme soit présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable ». Bizarrement, ça ne semble (...)