Imagine, tu te lèves, la vie est belle, le soleil darde ses premiers rayons, tu files au café du coin pour un kawa aux aurores, cérémoniel réjouissant, ce monde n’est pas si pourri, finalement, les filles sont belles et ondulent comme des gazelles, et paf, tu sors ton paquet de clopes pour croiser le regard d’un malade en phase terminale t’assénant : « Demain, ce sera toi ! » L’horreur ? Oui.
Tu croyais vivre dans une société faisant tout pour te priver de tes choix ? Qui te souhaitait trouillard et (...)