L’Élysée était en alerte, Nicolas Sarkozy aux abois et l’armée sur le pied de guerre. En pure perte, finalement : après moultes concertations, les plus éminents des blogueurs politiques ont décidé de ne pas faire tomber la République, refusant de se joindre à l’initiative « No Sarkozy Day ». Une décision si essentielle qu’elle valait bien une (inepte et sentencieuse) résolution commune…
Pffffiiiooouuuhhh…
Ça s’est joué à peu.
Durant tout le week-end, le monarque a serré les fesses, tics en rafales, biceps (...)