C’est un peu de l’âme du gouvernement qui vient de s’éteindre ce matin, poussant son dernier souffle dans un hôpital des Hauts-de-Seine. Robert Pandraud n’est plus, l’ultra-droite perd l’un des siens et ma tristesse est (forcément) immense. Ce billet pour lui rendre hommage, donc. Et me réjouir : un Robert Pandraud s’éteint, mais mille sarkozystes s’éveillent. Chouette…
Je fais chaque jeudi une petite chronique sur la radio libre FPP, à 12 h 15. Comme d’habitude, je te la copie-colle ici.
J’ai le moral (...)