La politique est monde impitoyable, la télévision aussi. Le mélange des deux - spectacle de la politique à la télévision - ne peut donc être que féroce… Vincent Peillon, rebelle de pacotille, vient d’en faire les frais : son acte de contrition publique, plates excuses en direction d’Arlette Chabot, est visible partout, exposé en tous lieux. Une humiliation n’ayant d’autre but que de clamer : force reste à la télé.
Je suis bon public (Sénat) : je ne goûte rien tant que les belles histoires.
Et celle (...)