Il n’est pas de limites à l’odieux culot de ceux qui composent « le marché ». Après avoir été (si) copieusement (que ça en donne une idée de l’infini) remis à flot par la collectivité et alors qu’ils font plonger la Grèce à force de spéculation, ceux-ci ont créé un acronyme pour les plus faibles des pays européens : les PIGS. Un mépris qui vaut (énième) déclaration de guerre. Les Grecs l’ont bien compris.
Les discours (sassés et) ressassés sur « la Grèce berceau de la démocratie » m’ont toujours sévèrement ennuyé. (...)