Chroniques d’un éducateur de rue dans un quartier populaire de la banlieue parisienne. Aujourd’hui, l’on retrace cinq ans de vie avec un jeune du quartier et, à la lumière de Nietzsche, l’on se rend compte que quand on parle des autres, on ne parle jamais que de soi. « Jadis, le moi était dissimulé au sein du troupeau : et maintenant, c’est au sein du moi que se cache le troupeau. »
Cette chronique est dédiée à Jane Sautière
« Il n’y a pas d’éducateurs. – Comme penseur, on ne devrait parler que de (...)