Notre chroniqueur, gagné par une légère nausée face aux tempêtes dans le verre d’eau croupie du polar français, est allé prendre l’air et goûter l’agneau au four dans une bergerie calabraise. Ça ne l’empêche pas de causer bouquins évoquant Londres juste après la 1re Guerre mondiale, de la Catalogne juste après la 2e, et des centrales atomiques juste avant la prochaine.
Sur les monts calabrais, d’où j’ai participé à la résistance massive (quoique différemment motivée, mais les sociologues de comptoir vont (...)