Il y a deux jours, le chercheur Jean-Pierre Berlan évoquait ici-même le brevetage du vivant et l’industrialisation de l’agriculture. C’était si limpide et passionnant qu’on ne pouvait en rester là : voici donc la deuxième partie de l’entretien. L’occasion de souligner que la critique des errements de l’agriculture doit s’inscrire dans une plus large dénonciation du capitalisme et de la société de contrôle.
« La main invisible du marché, c’est pour les Bisounours, c’est quand tout le monde il est beau, tout (...)