Deux poids deux mesures. D’un côté, le 27 mars, une manifestation gentillette et violette batifolant dans les rues de Paris sous le regard goguenard des forces de l’ordre. De l’autre, le lendemain, une manifestation anti-carcérale vite encerclée par les CRS et dont les participants finissent quasiment tous au commissariat pour des motifs inexistants. Une différence de traitement tout sauf anodine.
Il se tenait - tu es au courant - une prétendue « mobilisation nationale » ce 27 mars.
Manifestation (...)