Médias, politiques et notables locaux : ses crachats n’épargnent personne. Résolu à « couvrir de glaire » ceux qui rêvent de se « couvrir de gloire », l’impertinent Postillon rue joliment dans les brancards. Lancé avec un budget très réduit, vendu un euro et paraissant à l’improviste, ce canard apporte aux Grenoblois ce qui leur manquait : une contre-information locale de qualité. Entretien.
À force, la phrase est devenue tarte à la crème. Si répétée, utilisée, détournée qu’elle en a perdu son sens. (...)