samedi 17 juillet 2010 à 17h54, par Jean-Marc Agrati
Où il est question de promenades nocturnes virant à l’aigre, puis au yahou ; de vengeances bien crades, avec décapitation de rigueur ; de pelouses réservées qui nous les broutent ; de remèdes à la trahison du temps ; et même de tribunal populaire. Où l’on croise en écarquillant les neurones la prose de Jean-Marc Agrati. Où l’on encaisse en souriant. Blam, dans le sternum.
La première fois que je l’ai vu, l’animal, c’était à Marseille. On a enchaîné les verres en parlant de l’Afrique (où il a longuement (...)