Le toulousain Mathieu K. a participé au camp No Border organisé fin septembre à Bruxelles, baptême du feu agité. Il en a ramené beaucoup de souvenirs et un joli récit, chronique douce-amère d’une semaine de contestation. Très personnel autant que sincère, son texte interroge notamment la « consommation » d’un tel événement et les enjeux de son organisation.
« Ça te dit, le camp No Border ? » Je valide. Un peu comme on accepte de partir avec des potes à un festival. Mais avec surtout en mémoire les récits (...)