C’était plus fort que lui, passage obligé. Quand le saxophoniste Julian Cannonball Adderley écoutait les solos de ses partenaires, il ne pouvait s’empêcher de claquer des doigts en se déhanchant, totalement embarqué dans le beat, envoûté. Snap snap snap. Une forme d’aveu de sincérité de la part d’un « cannibale » du jazz immergé dans le yahou. Swingoscopie.
Si j’avais le claquement de doigt de Julian Cannonball Adderley, ça ferait un bail que je ne me faderais plus ces poussifs billets sur Article11, ce (...)