mardi 25 février 2014 à 17h55, par Jean-Luc Porquet
La tomate a disparu. Elle était là, sous nos yeux, dans nos paniers, pimpante et goûtue. Et puis plus rien, envolée. À sa place, de tristes ersatz, fades et bidouillés. Qu’est-il arrivé ?
Cette chronique a été publiée dans le numéro 14 de la version papier d’Article11
*
1. Vendredi 13 septembre de cette année, place de la Bourse, à Paris. Juste entre les locaux du Nouvel Observateur et ceux de l’AFP, se tient un petit marché hebdomadaire très chic, avec une demi-douzaine d’étals, pas plus. Sur celui du (...)