Sur le bord des routes, ils se font rares. Mais tous les auto-stoppeurs n’ont pas dit leur dernier mot. À l’image d’Alan Balevi, pratiquant convaincu. Quinze ans qu’il fait du stop. Et quinze ans que certains l’embarquent et que d’autres l’ignorent. Typologie.
Cette chronique, première d’une série de quatre consacrée à l’auto-stop, a été publiée dans le numéro 15 d’Article11
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On ne voit plus beaucoup d’auto-stoppeurs.
J’ai 33 ans, je ne suis plus étudiant, j’ai une voiture, et pourtant je me déplace (...)