jeudi 11 décembre 2014 à 08h44, par Martin Scriblerus
Je constate que même lorsqu’il donne l’apparence de lâcher du lest, c’est pour minimiser aussitôt l’ampleur de la tâche critique que nécessite la production d’une critique de la marchandisation de la reproduction qui se donne les moyens d’articuler les critiques anti-industrielles aux critiques féministes. Une tâche critique dont il se contentait de nier la possibilité comme la pertinence il y a six mois, laissant entendre que la critique féministe était au mieux un obstacle à la critique anti-industrielle, sinon son ennemie déclarée.
« Des féministes comme l’historienne Ilana Löwy ont d’ailleurs (...)