Oui, mille excuses, cette fois-ci, on est un peu en retard : le numéro caracole dans les kiosques depuis 24 heures quand est mis en ligne le billet qui l’annonce. Retard à l’allumage, la faute à quelques incursions prolongées à bistrot-land. Mais comme on trouve que ledit numéro pétille méchamment, chevaleresque et rosâtre, on espère que vous nous pardonnerez après lecture.
C’était un soir de cuite, bonne partie de la nuit à écumer quelques rades peu recommandés du Paris d’une autre époque. Dans le (...)