« Se priver de la notion d’islamophobie, c’est laisser carte blanche aux furieux obnubilés par l’islam, dans les rues, les salles de rédaction et les cabinets ministériels. Quand un discours est islamophobe, il doit être qualifié comme tel. »
Pour celles et ceux qui n’auraient pas suivi, voici les deux tribunes dont il est question dans le texte ci-dessous :
1/ Kamel Daoud : Cologne, lieu de fantasmes
2/ Nuit de Cologne : « Kamel Daoud recycle les clichés orientalistes les plus éculés »
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