mardi 27 janvier 2015 à 15h01, par Pierre Bourlier
« Dans la Terreur de 1984, la nation est menacée de l’intérieur, car l’ennemi étranger a des agents secrets partout, notamment parmi les dissidents politiques. Il faut donc se méfier de tout le monde et fliquer au maximum la vie civile : fichage, vidéo-surveillance, délation, etc. Le danger terroriste est, comme la grippe, diffus, omniprésent, increvable, invisible et montré tous les jours à la télévision. »
« À la suite de l’attentat du 7 janvier dans les locaux de Charlie Hebdo, qui a relancé le débat (...)