vendredi 19 février 2016 à 20h38, par Lémi & Margo
À Calais, il y a bien sûr les terribles rigueurs de la jungle et le désarroi de ses habitants, les parades de fachos, les gros titres et les badernes politiques en goguette. Mais il y a aussi ce qui est moins montré : la construction progressive de l’hostilité envers les migrants, la peur sournoise, l’ombre qui s’étend dans la grisaille du quotidien.
« Dans les sables arides de Calais grandit un arbre. [...] Ses racines se nourrissent de sang. Il projette son ombre sur la France entière. » (Georg (...)