Le fouet de l’enthousiasme frappe parfois de manière étrange. On peut le déplorer (préférer le nanar philippin à Lubitsch, ça fait tache dans les dîners mondains). Ou s’en réjouir : dans un monde bouffé par la rationalité uniforme, l’absurde et désargenté univers de la série Z a quelque chose de rassurant. La preuve par Weng Weng, possiblement le plus mauvais acteur du monde.
J’ai dû disséquer cette scène une bonne centaine de fois. Minimum. Les mirettes comme des soucoupes. Sans jamais m’en lasser. Ça tient (...)