Lundi dernier, le président Sarkozy annonçait sa volonté de faire un geste fort, lié aux questions d’immigration et d’insécurité : brûler l’exemplaire original de la Déclaration des Droits de l’homme. Une décision saluée comme il se doit dans les rangs de la majorité. Euphorie de courte durée : il a finalement décidé de suspendre son geste, le gain électoral d’un telle action restant incertain.
« Les droit-de-l’hommistes et autres bolchevistes nous pourrissent la vie depuis trop longtemps », postillonnait (...)