Il y a un peu de moins de deux ans, on se réjouissait ici de pouvoir encore rendre hommage à l’un des derniers génies vivants de la chanson française. Aujourd’hui, on aurait préféré ne pas avoir à écrire ces mots trop trempés, mais il le fallait, tant pour lui, l’ami Leprest, que pour nous, simples amoureux de ses chansons. Alors, plutôt que de chialer, buvons un coup ; c’est sûr qu’il aurait préféré...
Allain,
La Bretagne n’est pas si loin de la Normandie ; après tout il n’y a guère que le (...)