Chroniques d’un éducateur de rue dans un quartier populaire de la banlieue parisienne. Aujourd’hui, après sept ans de bons et loyaux se(r)vices, l’on est amené à quitter son taf. Et inutile de dire que ce n’est pas de gaieté de cœur et qu’icelui est aussi gros que le temps passé à la cité et le regret de la quitter. Car, quand il y a de l’amour, une séparation n’est jamais tendre...
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C’est Jean-Claude Izzo qui disait, je crois en tête d’un des chapitres de sa trilogie , que ce sont de drôles d’amours (...)