C’est un OLNI – Objet Livresque Non Identifié – que viennent de publier les éditions Tristram. À la fois splendide et dégueulasse. Un ouvrage qui, dès sa première parution (1959), avait glissé vers cette étrange catégorie de livres unanimement qualifiés de « cultes ». Hollywood Babylone, de Kenneth Anger, dévoile sans chichis l’envers du décor hollywoodien à sa période faste. Et ça sent pas la rose.
Cette chronique a été publiée dans le numéro 12 de la version papier.
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« Et je chancelle et je chavire / (...)