C’était il y a deux mois, en plein été. Suite au déraillement d’un train circulant entre Paris et Limoges, la France découvrait avec horreur que des détrousseurs de cadavres sévissaient aux portes de sa capitale. L’événement fut disséqué, commenté à toutes les sauces, discuté jusqu’à plus soif. Avant de se dégonfler comme une baudruche. Trop tard : le mal était fait.
Cette chronique a été publiée dans le numéro 13 de la version papier d’Article11, imprimé fin juillet 2013.
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Il y a des faits divers qui ne le (...)