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Rase-dock et cherche-mémoire : Tanner et les hommes du port de Gênes

mercredi 25 avril 2012 à 15h25, par Julia Zortea

Il se dit qu’Alain Tanner a davantage appris sur les cargos que dans les salles obscures. À 18 ans, en 1947, le futur cinéaste s’échappe de Genève et découvre Gênes, son port et ses dockers. 50 ans plus tard, il réalise « Les Hommes du port », documentaire-hommage à l’expérience autogestionnaire de ces derniers, unique trace auto-biographique du cinéaste au sein de sa production. Cette chronique portuaire a été publiée dans le numéro 6 de la version papier d’Article11 * Une soixantaine de minutes, le (...)